27 novembre 2009
Argument de la journée
La maladie mentale affecte le patient dans sa
subjectivité, son individualité, sa pensée, son rapport à lui-même et
aux autres. Or la recherche clinique porte sur les effets de différents
facteurs ou du traitement, sur la maladie.
- Comment objectiver ces effets quand l’efficacité d’une thérapie porte le plus souvent sur des caractéristiques subjectives ?
- Quelles sont les positions subjectives respectives du patient et du chercheur dans une étude clinique ?
- En quoi la recherche modifie la position subjective du patient dans sa relation à lui-même et à autrui, notamment au psychiatre et au chercheur ?
- Comment les références théoriques du chercheur et leur « mise en acte » dans la réalisation de la recherche peuvent-elles retentir sur la subjectivité du patient qui se prête à la recherche ?
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